En toute hypothèse (épisode 83)

en toute hypothÈSE (épisode 83)


Les jours suivants le décès de François j’étais anéanti, je n’avais plus goût à rien, c’était dur de se dire que je ne reverrai plus cette personne si douce et si gentille qui avait fait pour moi ce qu’un père ferait pour son fils. Il fallait que je fasse avec, mais à chaque pensée mon coeur se déchirait.
Pour lui dire au-revoir j’allais avec Kamel et sa petite copine Émilie au crématorium de Montfermeil, c’est l’une des disparitions qui avait marqué le plus ma vie.
Quelques jours après, j’allais voir sa compagne Ann et sa fille, elle faisait le bain à la petite princesse Florie et j’entendais répéter ce petit ange d’un an :

« – Papa, papa… »

Les larmes me montaient aussitôt, ce fut un moment très dur qui me marqua à jamais.

Comme quoi un ami peut être plus proche qu’un membre de sa famille.

J’avais déjà essayé de lui rendre hommage par une chanson mais à cette époque… je ne trouvais ni les mots ni le courage, alors ce livre sert aussi à celà.

A partir de ce moment, je n’ai jamais plus retrouvé une telle complicité ni un aussi gros talent dans le travail des instrus.

Je continuais mon petit bonhomme de chemin, mais à présent ce ne serait plus tout à fait pareil.
Je garderai toujours dans mon coeur le souvenir d’un homme gentil, généreux et très souriant.
François nous a quitté à l’âge de 28 ans et nous le regrettons tous…

en toute hypothÈSE (épisode 83)


Les jours suivants le décès de François j’étais anéanti, je n’avais plus goût à rien, c’était dur de se dire que je ne reverrai plus cette personne si douce et si gentille qui avait fait pour moi ce qu’un père ferait pour son fils. Il fallait que je fasse avec, mais à chaque pensée mon coeur se déchirait.
Pour lui dire au-revoir j’allais avec Kamel et sa petite copine Émilie au crématorium de Montfermeil, c’est l’une des disparitions qui avait marqué le plus ma vie.
Quelques jours après, j’allais voir sa compagne Ann et sa fille, elle faisait le bain à la petite princesse Florie et j’entendais répéter ce petit ange d’un an :

« – Papa, papa… »

Les larmes me montaient aussitôt, ce fut un moment très dur qui me marqua à jamais.

Comme quoi un ami peut être plus proche qu’un membre de sa famille.

J’avais déjà essayé de lui rendre hommage par une chanson mais à cette époque… je ne trouvais ni les mots ni le courage, alors ce livre sert aussi à celà.

A partir de ce moment, je n’ai jamais plus retrouvé une telle complicité ni un aussi gros talent dans le travail des instrus.

Je continuais mon petit bonhomme de chemin, mais à présent ce ne serait plus tout à fait pareil.
Je garderai toujours dans mon coeur le souvenir d’un homme gentil, généreux et très souriant.
François nous a quitté à l’âge de 28 ans et nous le regrettons tous…