En toute hypothèse (épisode 76)

en toute hypothÈSE (épisode 76)


Mes textes s’étaient largement améliorés, parfois cela venait tout seul, comme cette fois où je rentrais de boîte de nuit à 5h du matin, je me préparais pour aller dormir et là, l’inspiration me prenait de cours, j’étais épuisé, mais la feuille blanche me réclamait, alors, lumière rallumée, stylo bleu, et c’était parti pour un atelier d’écriture jusqu’à plus de 7h00 du matin.

« Lève les yeux au ciel, voit des milliards d’étoiles et se met à cogiter. L’enfant, l’adolescent, le pilote de rêves qui deviendront réalité…. »

On aurait dit que mon stylo était guidé par quelqu’un, comparé à toutes ses heures passées à écrire un texte qui souvent se retrouvait à la poubelle. Ce titre s’appellera « Détourné par le mal » !
Le premier couplet parlait d’un jeune homme respectueux, et le deuxième racontait comment il avait fini par vriller à cause d’une histoire d’amour qui l’avait brisé.
Donc, désormais mes titres étaient construits et quand l’inspiration ne venait pas seule comme pour cette chanson, les sujets étaient réfléchis, plusieurs jours voire plusieurs semaines avant d’être développés, analysés, et enfin concrétisés.
Donc, pas très longtemps, après avoir écrit « détourné par le mal », j’écrivais « Destin tragique » j’avoue que les thèmes n’étaient pas folkloriques, mais comme l’a très bien dit Zazie dans sa chanson « j’écris »
« …On n’écrit pas qu’on manque de rien, Qu’on est heureux, que tout va bien… »

Et vu que dans ma vie ça allait plutôt pas mal, il me fallait des sujets plus marquants et donc « Destin tragique » racontait les histoires de 2 garçons à peu près du même âge, mais que tout opposait, Rachid lui était un sportif, et Moustapha un délinquant. Je décrivais ainsi leurs quotidiens respectifs, et c’était seulement à la fin de la chanson que tout basculait, Rachid mourait tragiquement et Mous reprenait le droit chemin pour rendre hommage à son frère.
De plus en plus fier de mes titres, je croyais à une carrière imminente, au refrain il y avait Kamel, et le titre devenait vraiment intéressant, mon entourage était vraiment bluffé, mais pour avoir des avis objectifs il me fallait, les chanter en public ce qui ne tardera pas.

en toute hypothÈSE (épisode 76)


Mes textes s’étaient largement améliorés, parfois cela venait tout seul, comme cette fois où je rentrais de boîte de nuit à 5h du matin, je me préparais pour aller dormir et là, l’inspiration me prenait de cours, j’étais épuisé, mais la feuille blanche me réclamait, alors, lumière rallumée, stylo bleu, et c’était parti pour un atelier d’écriture jusqu’à plus de 7h00 du matin.

« Lève les yeux au ciel, voit des milliards d’étoiles et se met à cogiter. L’enfant, l’adolescent, le pilote de rêves qui deviendront réalité…. »

On aurait dit que mon stylo était guidé par quelqu’un, comparé à toutes ses heures passées à écrire un texte qui souvent se retrouvait à la poubelle. Ce titre s’appellera « Détourné par le mal » !
Le premier couplet parlait d’un jeune homme respectueux, et le deuxième racontait comment il avait fini par vriller à cause d’une histoire d’amour qui l’avait brisé.
Donc, désormais mes titres étaient construits et quand l’inspiration ne venait pas seule comme pour cette chanson, les sujets étaient réfléchis, plusieurs jours voire plusieurs semaines avant d’être développés, analysés, et enfin concrétisés.
Donc, pas très longtemps, après avoir écrit « détourné par le mal », j’écrivais « Destin tragique » j’avoue que les thèmes n’étaient pas folkloriques, mais comme l’a très bien dit Zazie dans sa chanson « j’écris »
« …On n’écrit pas qu’on manque de rien, Qu’on est heureux, que tout va bien… »

Et vu que dans ma vie ça allait plutôt pas mal, il me fallait des sujets plus marquants et donc « Destin tragique » racontait les histoires de 2 garçons à peu près du même âge, mais que tout opposait, Rachid lui était un sportif, et Moustapha un délinquant. Je décrivais ainsi leurs quotidiens respectifs, et c’était seulement à la fin de la chanson que tout basculait, Rachid mourait tragiquement et Mous reprenait le droit chemin pour rendre hommage à son frère.
De plus en plus fier de mes titres, je croyais à une carrière imminente, au refrain il y avait Kamel, et le titre devenait vraiment intéressant, mon entourage était vraiment bluffé, mais pour avoir des avis objectifs il me fallait, les chanter en public ce qui ne tardera pas.