En toute hypothèse (épisode 77)

en toute hypothÈSE (épisode 77)


Superbe nouvelle, Ann et François attendaient un enfant, et ils se démenaient pour l’accueillir dans de bonnes conditions. Ils étaient de très belles personnes et feraient des parents merveilleux ! Déjà que François était habituellement toujours très souriant, là c’était bien plus encore, alors qu’il lui préparait sa petite chambre, tout heureux d’être un futur papa gâteux et en attendant que bébé arrive nous continuions de travailler sur les instrus, et François eu une idée.

– Puisque que tu t’intéresses beaucoup à la réalisation des musiques, je vais te prêter mon matériel, et tu pourras essayer d’en faire tout seul.

Encore une fois, il me faisait confiance, m’installait le logiciel « Cubase » sur mon ordinateur, et m’expliquait son utilisation. Alors je m’y mettais et quelques jours plus tard, j’écrivais « grand père » textes et musique, même si, comme mon ancien producteur, l’instru était encore bancale, mais au moins moi je m’en rendais compte.
Cette période fut prolifique et Marwan allias « Mess » posait sur mes musiques, je n’en revenais pas de pouvoir créer, chose que je n’imaginais pas du tout quelques semaines auparavant.
Au niveau du taf, j’étais plutôt bien, chez L’Oréal toujours, mais avec des pauses de plusieurs mois, ils faisaient cela pour être en accord avec la loi, et moi ça me convenait, les mois où j’étais chez moi je pouvais travailler mes morceaux.
Les week-ends, ma grand-mère paternelle venait les passer à la maison, et comme nous nous étions rapprochés depuis le décès de mon grand-père, j’avais comme une copine avec qui je délirais, je lui racontais des blagues et elle me racontait sa jeunesse en Algérie, la guerre….

en toute hypothÈSE (épisode 77)


Superbe nouvelle, Ann et François attendaient un enfant, et ils se démenaient pour l’accueillir dans de bonnes conditions. Ils étaient de très belles personnes et feraient des parents merveilleux ! Déjà que François était habituellement toujours très souriant, là c’était bien plus encore, alors qu’il lui préparait sa petite chambre, tout heureux d’être un futur papa gâteux et en attendant que bébé arrive nous continuions de travailler sur les instrus, et François eu une idée.

– Puisque que tu t’intéresses beaucoup à la réalisation des musiques, je vais te prêter mon matériel, et tu pourras essayer d’en faire tout seul.

Encore une fois, il me faisait confiance, m’installait le logiciel « Cubase » sur mon ordinateur, et m’expliquait son utilisation. Alors je m’y mettais et quelques jours plus tard, j’écrivais « grand père » textes et musique, même si, comme mon ancien producteur, l’instru était encore bancale, mais au moins moi je m’en rendais compte.
Cette période fut prolifique et Marwan allias « Mess » posait sur mes musiques, je n’en revenais pas de pouvoir créer, chose que je n’imaginais pas du tout quelques semaines auparavant.
Au niveau du taf, j’étais plutôt bien, chez L’Oréal toujours, mais avec des pauses de plusieurs mois, ils faisaient cela pour être en accord avec la loi, et moi ça me convenait, les mois où j’étais chez moi je pouvais travailler mes morceaux.
Les week-ends, ma grand-mère paternelle venait les passer à la maison, et comme nous nous étions rapprochés depuis le décès de mon grand-père, j’avais comme une copine avec qui je délirais, je lui racontais des blagues et elle me racontait sa jeunesse en Algérie, la guerre….