En toute hypothèse (épisode 75)

en toute hypothÈSE (épisode 75)


Je travaillais de nuit et donc dormais toute la journée, quand un jour je me réveillais aux alentours de 19h, je me levais dans le sous sol, on était fin décembre et le pavillon était glacial, personne dans la maison, plus de chauffage et pas d’électricité, je ne comprenais rien, que s’était-il passé ?
Une tempête qui avait tout dévasté et je n’avais rien entendu, un arbre était tombé dans notre jardin, des tuiles s’était envolées et moi je dormais paisiblement.
Il me restait un peu de batterie dans mon téléphone, j’appelais mes parents qui s’étaient réfugiés chez ma tante, alors je pliais bagage et allais les rejoindre.
Mais ce qui m’inquiétait le plus, c’est que j’avais prévu d’organiser le nouvel an du passage à l’an 2000, et là, ça compromettait complètement mes plans.
Les jours passaient et l’électricité n’était toujours pas revenue, j’avais déjà invité tous mes convives et chaque heure qui passait me faisait stresser.
Quand soudain, 3 jours après, c’était rétabli, donc, grosse fête en perspective qui s’annonçait.
Le jour J c’était le top, mes copains et copines de Claye-Souilly et aussi mes potes de Rosny que j’étais allé chercher à la gare de Mitry-Claye, nous avions passé une superbe soirée, sans embrouille et dans la bonne humeur. Vers 5 heure du matin, je redéposais mes amis d’enfance à la gare et comme avec la mère d’Aziz 2 ans auparavant, nous étions 7 dans la voiture.
Ils me remerciaient pour cette soirée qui sera la dernière avec eux, ensuite nos chemins se sont séparés bien que je le regrette assez souvent, mais comme on dit « c’est la vie » L’an 2000 s’annonçait bien, j’avais plein de projets, et je comptais bien tout faire pour les réaliser.

en toute hypothÈSE (épisode 75)


Je travaillais de nuit et donc dormais toute la journée, quand un jour je me réveillais aux alentours de 19h, je me levais dans le sous sol, on était fin décembre et le pavillon était glacial, personne dans la maison, plus de chauffage et pas d’électricité, je ne comprenais rien, que s’était-il passé ? Une tempête qui avait tout dévasté et je n’avais rien entendu, un arbre était tombé dans notre jardin, des tuiles s’était envolées et moi je dormais paisiblement. Il me restait un peu de batterie dans mon téléphone, j’appelais mes parents qui s’étaient réfugiés chez ma tante, alors je pliais bagage et allais les rejoindre. Mais ce qui m’inquiétait le plus, c’est que j’avais prévu d’organiser le nouvel an du passage à l’an 2000, et là, ça compromettait complètement mes plans. Les jours passaient et l’électricité n’était toujours pas revenue, j’avais déjà invité tous mes convives et chaque heure qui passait me faisait stresser. Quand soudain, 3 jours après, c’était rétabli, donc, grosse fête en perspective qui s’annonçait. Le jour J c’était le top, mes copains et copines de Claye-Souilly et aussi mes potes de Rosny que j’étais allé chercher à la gare de Mitry-Claye, nous avions passé une superbe soirée, sans embrouille et dans la bonne humeur. Vers 5 heure du matin, je redéposais mes amis d’enfance à la gare et comme avec la mère d’Aziz 2 ans auparavant, nous étions 7 dans la voiture. Ils me remerciaient pour cette soirée qui sera la dernière avec eux, ensuite nos chemins se sont séparés bien que je le regrette assez souvent, mais comme on dit « c’est la vie » L’an 2000 s’annonçait bien, j’avais plein de projets, et je comptais bien tout faire pour les réaliser.