En toute hypothèse (épisode 7)

en toute hypothÈSE (épisode 7)


Nous étions le 1er mai 1985, je venais de souffler ma 4ème bougie, toute ma famille avait décidé de vendre du muguet, mes oncles, mes tantes, mes parents. Ce jour-là, le temps était maussade. Nous étions arrivés très tôt sur les trottoirs de Paris, tout était installé et l’argent commençait à rentrer dans les caisses. Puisque le temps n’était pas à la fête nous nous réfugiions souvent nous les enfants dans les voitures, de belles Renault 12 de luxe. De la pluie fine n’avait cessé de tomber des heures durant, vers midi ma mère, mon oncle qui allait avoir 11 ans, et moi, étions dans un des véhicules.

– « Benamar ! Garde ton neveu, je reviens tout de suite. »

Elle sortit de la voiture, et moi qui était un enfant très sage habituellement, tout d’un coup, je m’excitais, criais, hurlais,
– « Benamar, laisse-moi sortir »
Au bout de plusieurs minutes il avait craqué.
La porte de la voiture s’ouvrit il traversa et je le suivis, puis soudain je glissai au sol j’avais une jambe repliée et l’autre allongée, une voiture arriva, essaya de s’arrêter mais le sol était une vraie patinoire, elle me roula sur la cheville, freinait dessus, un os en sortit, du sang giclait de partout et mes cris de douleur résonnaient à des centaines de mètres à la ronde.
La porte de la voiture s’ouvrit il traversa et je le suivis, puis soudain je glissai au sol j’avais une jambe repliée et l’autre allongée, une voiture arriva, essaya de s’arrêter mais le sol était une vraie patinoire, elle me roula sur la cheville, freinait dessus, un os en sortit, du sang giclait de partout et mes cris de douleur résonnaient à des centaines de mètres à la ronde.
Un attroupement se fit autour de moi et ma mère qui revenait, cria alors,
– « Mon fils !!! ».
Effectivement c’était bien moi !!!

en toute hypothÈSE (épisode 7)


Nous étions le 1er mai 1985, je venais de souffler ma 4ème bougie, toute ma famille avait décidé de vendre du muguet, mes oncles, mes tantes, mes parents. Ce jour-là, le temps était maussade. Nous étions arrivés très tôt sur les trottoirs de Paris, tout était installé et l’argent commençait à rentrer dans les caisses. Puisque le temps n’était pas à la fête nous nous réfugiions souvent nous les enfants dans les voitures, de belles Renault 12 de luxe. De la pluie fine n’avait cessé de tomber des heures durant, vers midi ma mère, mon oncle qui allait avoir 11 ans, et moi, étions dans un des véhicules.

– « Benamar ! Garde ton neveu, je reviens tout de suite. »

Elle sortit de la voiture, et moi qui était un enfant très sage habituellement, tout d’un coup, je m’excitais, criais, hurlais,
– « Benamar, laisse-moi sortir »
Au bout de plusieurs minutes il avait craqué.
La porte de la voiture s’ouvrit il traversa et je le suivis, puis soudain je glissai au sol j’avais une jambe repliée et l’autre allongée, une voiture arriva, essaya de s’arrêter mais le sol était une vraie patinoire, elle me roula sur la cheville, freinait dessus, un os en sortit, du sang giclait de partout et mes cris de douleur résonnaient à des centaines de mètres à la ronde.
La porte de la voiture s’ouvrit il traversa et je le suivis, puis soudain je glissai au sol j’avais une jambe repliée et l’autre allongée, une voiture arriva, essaya de s’arrêter mais le sol était une vraie patinoire, elle me roula sur la cheville, freinait dessus, un os en sortit, du sang giclait de partout et mes cris de douleur résonnaient à des centaines de mètres à la ronde.
Un attroupement se fit autour de moi et ma mère qui revenait, cria alors,
– « Mon fils !!! ».
Effectivement c’était bien moi !!!