en toute hypothÈSE (épisode 68)
Je revenais sur Paris après 3 semaines de superbes vacances malgré une fin houleuse, fallait à tout prix que j’y retourne au mois d’août ! Vu que j’avais fini l’école et que je n’avais toujours pas de travail, j’allais en profiter… Mais il y avait un souci, je n’avais plus un franc en poche, donc il fallait que je trouve une solution.
Depuis plusieurs années mon oncle (qui m’avait acheté le vélo en me faisant une surprise quand j’étais petit) avait ouvert un centre équestre et plusieurs fois pendant les vacances à mon adolescence, j’allais travailler là-bas pour me faire un peu d’argent de poche. Donc là, je n’avais pas d’autre choix que d’y retourner. Même si ce n’était pas payer une fortune, ça me ferait mes vacances.
Alors pendant une dizaine de jours, je nettoyais les boxes, faisais des tranchées, repeignais des clôtures, ramassais (et ça c’était le plus dur) des ballots de paille dans un champs…
Mais le résultat était là, après l’effort le réconfort, il me rémunérait 1500 francs, assez pour retourner m’éclater avec d’autres copains. Cette fois, il y avait Matthieu, Yohan et François, pas mon ami François qui me faisait mes instrus, mais un copain du collège.
Ils venaient de partir au Cap d’Agde dans une résidence d’un pote à eux, je les appelais pour leur dire que j’allais pouvoir venir ! Mais leur copain qui avait des parents « racistes » ne me voulait pas dans son appartement, de peur que ses paternels tombent sur la vidéo et me voient. Mais François, Mat et Yohan ont fait le forcing, et il avait fini par céder.
Ma détermination avait payée, je prenais mon billet TGV et préparai mon sac, paré pour de nouvelles aventures.
en toute hypothÈSE (épisode 68)
Je revenais sur Paris après 3 semaines de superbes vacances malgré une fin houleuse, fallait à tout prix que j’y retourne au mois d’août ! Vu que j’avais fini l’école et que je n’avais toujours pas de travail, j’allais en profiter… Mais il y avait un souci, je n’avais plus un franc en poche, donc il fallait que je trouve une solution.
Depuis plusieurs années mon oncle (qui m’avait acheté le vélo en me faisant une surprise quand j’étais petit) avait ouvert un centre équestre et plusieurs fois pendant les vacances à mon adolescence, j’allais travailler là-bas pour me faire un peu d’argent de poche. Donc là, je n’avais pas d’autre choix que d’y retourner. Même si ce n’était pas payer une fortune, ça me ferait mes vacances.
Alors pendant une dizaine de jours, je nettoyais les boxes, faisais des tranchées, repeignais des clôtures, ramassais (et ça c’était le plus dur) des ballots de paille dans un champs…
Mais le résultat était là, après l’effort le réconfort, il me rémunérait 1500 francs, assez pour retourner m’éclater avec d’autres copains. Cette fois, il y avait Matthieu, Yohan et François, pas mon ami François qui me faisait mes instrus, mais un copain du collège.
Ils venaient de partir au Cap d’Agde dans une résidence d’un pote à eux, je les appelais pour leur dire que j’allais pouvoir venir ! Mais leur copain qui avait des parents « racistes » ne me voulait pas dans son appartement, de peur que ses paternels tombent sur la vidéo et me voient. Mais François, Mat et Yohan ont fait le forcing, et il avait fini par céder.
Ma détermination avait payée, je prenais mon billet TGV et préparai mon sac, paré pour de nouvelles aventures.