En toute hypothèse (épisode 65)

en toute hypothÈSE (épisode 65)


Pour fêter l’été 1999, avec Djamel et Ludo, nous chantions à Claye-Souilly pour la fête de la musique, sur la place de la poste, le groupe de François se produisait aussi, de bons morceaux de funk, pour ambiancer la foule, qui je dois l’avouer n’était pas impressionnante.

« Mais quand on aime ce que l’on fait, peu importe le nombre devant lequel on se produit. »

Nous chantions notre titre phare » Faut qu’ça blesse » puis eux qui s’appelait désormais « Indeclassable » faisaient certains de leurs titres, et moi, de mon côté je faisais « Guerrier s.o.l.o »,  » Un flux en sable » et encore quelques autres chansons…

Quelques jours plus tard, j’allais passer mon CAP, et premier jour des examens, je me réveillais en retard, la panique, je m’habillais à l’arrache, sans petit déjeuner, je prenais le camion, et je traçais à la gare de Mitry-Claye.
Laissant le véhicule dans une des rues adjacente, RER B puis le D, pour rejoindre Alfortville, et comme au brevet des collèges, c’était le cirque, j’arrivais en retard, mais étant pas en médecine, ils m’avaient quand même accepté, je remplissais assez aisément tout ce qui était les matières à proprement parler, mais l’après-midi, c’était une autre paire de manches, on nous donnait des plans, et nous devions faire la pièce qui y était dessinée avec cuivre, fer galvanisé, et PVC, autant vous dire que ma pièce ressemblait plus à une œuvre d’art contemporaine plutôt qu’à un tableau de plomberie.

Une fois cette corvée de passée, je me tournais, vers ce qui était le plus important à mes yeux : le programme de mes vacances.

en toute hypothÈSE (épisode 65)


Pour fêter l’été 1999, avec Djamel et Ludo, nous chantions à Claye-Souilly pour la fête de la musique, sur la place de la poste, le groupe de François se produisait aussi, de bons morceaux de funk, pour ambiancer la foule, qui je dois l’avouer n’était pas impressionnante.

« Mais quand on aime ce que l’on fait, peu importe le nombre devant lequel on se produit. »

Nous chantions notre titre phare » Faut qu’ça blesse » puis eux qui s’appelait désormais « Indeclassable » faisaient certains de leurs titres, et moi, de mon côté je faisais « Guerrier s.o.l.o »,  » Un flux en sable » et encore quelques autres chansons…

Quelques jours plus tard, j’allais passer mon CAP, et premier jour des examens, je me réveillais en retard, la panique, je m’habillais à l’arrache, sans petit déjeuner, je prenais le camion, et je traçais à la gare de Mitry-Claye.
Laissant le véhicule dans une des rues adjacente, RER B puis le D, pour rejoindre Alfortville, et comme au brevet des collèges, c’était le cirque, j’arrivais en retard, mais étant pas en médecine, ils m’avaient quand même accepté, je remplissais assez aisément tout ce qui était les matières à proprement parler, mais l’après-midi, c’était une autre paire de manches, on nous donnait des plans, et nous devions faire la pièce qui y était dessinée avec cuivre, fer galvanisé, et PVC, autant vous dire que ma pièce ressemblait plus à une œuvre d’art contemporaine plutôt qu’à un tableau de plomberie.

Une fois cette corvée de passée, je me tournais, vers ce qui était le plus important à mes yeux : le programme de mes vacances.