en toute hypothÈSE (épisode 137)
À chaque jour sa proposition, et celle qui arrivait sur la table ce jour-là venait d’un Monsieur que j’avais rencontré à l’exposition de Vaujours, il faisait partie de l’équipe municipale et aussi partie des responsables d’un syndicat national que tout le monde connaît, il me proposait d’exposer lors d’une inauguration d’un de leur local à la défense (le quartier d’affaires de Paris). Projet que j’acceptais volontiers ! Et me voilà, à exposer à Puteaux, je rencontrais du beau monde lors de la soirée, tout s’était bien passé. Et c’est quelques semaines plus tard que nous trouvions un arrangement et que l’organisme me prenait toutes les toiles exposées. Je n’en revenais pas de la vitesse à laquelle les choses se déroulaient… Il me fallait à présent beaucoup travailler, puisque dans les mois à venir trois expositions allaient se superposer (Livry-Gargan, Villeparisis et Claye-Souilly). Qui dit superposées, implique aussi que je sois obligé de faire pour chaque expos des toiles attitrées. Je me réfugiais donc dans mon atelier et enchainais les heures de travail, sans compter. Il fallait que je crée pratiquement une centaine d’œuvres, c’était un sacré challenge mais vu que j’aimais beaucoup ça… ce fut tout de même un plaisir. Et je finissais donc par aboutir au nombre voulu avec des idées variées et des techniques différentes, je ne voulais absolument pas que l’on me dise qu’elles se ressemblaient toutes. J’étais paré à affronter ces événements à venir et aussi très excité à l’idée de présenter mes nouvelles créations.
en toute hypothÈSE (épisode 137)
À chaque jour sa proposition, et celle qui arrivait sur la table ce jour-là venait d’un Monsieur que j’avais rencontré à l’exposition de Vaujours, il faisait partie de l’équipe municipale et aussi partie des responsables d’un syndicat national que tout le monde connaît, il me proposait d’exposer lors d’une inauguration d’un de leur local à la défense (le quartier d’affaires de Paris). Projet que j’acceptais volontiers ! Et me voilà, à exposer à Puteaux, je rencontrais du beau monde lors de la soirée, tout s’était bien passé. Et c’est quelques semaines plus tard que nous trouvions un arrangement et que l’organisme me prenait toutes les toiles exposées. Je n’en revenais pas de la vitesse à laquelle les choses se déroulaient… Il me fallait à présent beaucoup travailler, puisque dans les mois à venir trois expositions allaient se superposer (Livry-Gargan, Villeparisis et Claye-Souilly). Qui dit superposées, implique aussi que je sois obligé de faire pour chaque expos des toiles attitrées. Je me réfugiais donc dans mon atelier et enchainais les heures de travail, sans compter. Il fallait que je crée pratiquement une centaine d’œuvres, c’était un sacré challenge mais vu que j’aimais beaucoup ça… ce fut tout de même un plaisir. Et je finissais donc par aboutir au nombre voulu avec des idées variées et des techniques différentes, je ne voulais absolument pas que l’on me dise qu’elles se ressemblaient toutes. J’étais paré à affronter ces événements à venir et aussi très excité à l’idée de présenter mes nouvelles créations.