En toute hypothèse (épisode 133)

en toute hypothÈSE (épisode 133)


Après ces années où mes bébés ont bien grandi, il fallait que je me retrouve, je peignais toujours de temps à autre, mais rien de concret, cela m’arrivait de faire une toile, de la vendre ou d’autre fois de l’offrir, et soudain, un jour le déclic est arrivé.
– Je vais en faire mon métier !
Alors il me fallait mettre les moyens pour y arriver et mettre du cœur à l’ouvrage, ainsi je me réfugiais dans mon box que je transformais en atelier. J’achetais une table dédiée à mon travail. Avec la matière que j’utilisais je ne pouvais pas peindre sur un chevalet, tout se retrouverait au sol en quelques minutes.
Je faisais quelques nouvelles toiles, les postais sur Facebook, et là les réactions étaient plus positives que les années précédentes, cela m’encourageait à ne pas lâcher… Alors j’enchainais les œuvres et je retournais dans la ville de Vaujours pour programmer une nouvelle exposition. Et là, reçu par Didier, qui était très à mon écoute et qui avait apprécié le travail que je lui avais présenté, nous programmions ensemble des dates. Très content que cela reprenne, je ne comptais pas m’arrêter là.
Je postais sur les réseaux sociaux un message, à savoir, si les gens avaient des plans pour exposer mes œuvres.
Je recevais une réponse de ma cousine Salima, qui me donnait un contact, l’un de ses amis d’enfance. J’allais à sa rencontre, nous nous sommes vus environ trois heures et il me faisait visiter une exposition dans un hôtel où il exposait, j’étais très impressionné et très content pour lui, ensuite je lui montrais mon travail, et ses conseils m’ont beaucoup aidé :
– Rabah, tu devrais mettre plus de couleurs flashy, tu devrais plus faire ceci et moins cela…..
En trois heures, j’en avais pris plein les yeux et plein les oreilles, alors je mettais dès le lendemain ses conseils en pratique, et l l’effervescence partait de plus belle, les gens me félicitaient et moi je postais un message pour remercier ce peintre qui (avec ses quelques mots) avait réussi à me libérer de plein de choses.

en toute hypothÈSE (épisode 133)


Après ces années où mes bébés ont bien grandi, il fallait que je me retrouve, je peignais toujours de temps à autre, mais rien de concret, cela m’arrivait de faire une toile, de la vendre ou d’autre fois de l’offrir, et soudain, un jour le déclic est arrivé.
– Je vais en faire mon métier !
Alors il me fallait mettre les moyens pour y arriver et mettre du cœur à l’ouvrage, ainsi je me réfugiais dans mon box que je transformais en atelier. J’achetais une table dédiée à mon travail. Avec la matière que j’utilisais je ne pouvais pas peindre sur un chevalet, tout se retrouverait au sol en quelques minutes.
Je faisais quelques nouvelles toiles, les postais sur Facebook, et là les réactions étaient plus positives que les années précédentes, cela m’encourageait à ne pas lâcher… Alors j’enchainais les œuvres et je retournais dans la ville de Vaujours pour programmer une nouvelle exposition. Et là, reçu par Didier, qui était très à mon écoute et qui avait apprécié le travail que je lui avais présenté, nous programmions ensemble des dates. Très content que cela reprenne, je ne comptais pas m’arrêter là.
Je postais sur les réseaux sociaux un message, à savoir, si les gens avaient des plans pour exposer mes œuvres.
Je recevais une réponse de ma cousine Salima, qui me donnait un contact, l’un de ses amis d’enfance. J’allais à sa rencontre, nous nous sommes vus environ trois heures et il me faisait visiter une exposition dans un hôtel où il exposait, j’étais très impressionné et très content pour lui, ensuite je lui montrais mon travail, et ses conseils m’ont beaucoup aidé :
– Rabah, tu devrais mettre plus de couleurs flashy, tu devrais plus faire ceci et moins cela…..
En trois heures, j’en avais pris plein les yeux et plein les oreilles, alors je mettais dès le lendemain ses conseils en pratique, et l l’effervescence partait de plus belle, les gens me félicitaient et moi je postais un message pour remercier ce peintre qui (avec ses quelques mots) avait réussi à me libérer de plein de choses.