En toute hypothèse (épisode 132)

en toute hypothÈSE (épisode 132)


C’était un matin d’automne de 2017, et seules des larmes de joie venaient se poser sur mes joues. Je restais stoïque devant la naissance de « Petit Prince », un petit garçon, un mini-moi et effectivement la ressemblance était frappante ! Ma fille avait hâte de voir son petit frère, et la rencontre entre mes deux anges fût formidable.
Ma princesse me rappelait moi, prenant ma petite sœur dans mes bras à l’hôpital avec la fierté d’être grand frère.
Quoi de plus beau que d’avoir deux enfants en bonne santé ? (Dieu merci).
Alors les années passaient à une vitesse folle, grande sœur était pressée de pouvoir jouer avec petit frère, et cela arriva très vite… Les changements de bébé nous laissaient sans voix, les premiers jouets, les premiers mots, les premiers pas et bien-sûr les premières bêtises.
Avec deux enfants, mon empressement pour rentrer du travail était encore plus fort.
Les clefs dans la serrure, je les entendais débarquer derrière la porte avec des cris de joie :

– ​Papa !
– ​C’est papa !

Je pense qu’au niveau bonheur on ne peut pas faire beaucoup mieux.
Et les années passaient, quoi qu’il m’arrivait pour me réconforter, les câlins et les bisous de mes bouts de chou cicatrisaient mes plaies.
En 2020, petit prince rentrait à la maternelle, princesse en CP, et papa allait reprendre sa quête artistique.

en toute hypothÈSE (épisode 132)


C’était un matin d’automne de 2017, et seules des larmes de joie venaient se poser sur mes joues. Je restais stoïque devant la naissance de « Petit Prince », un petit garçon, un mini-moi et effectivement la ressemblance était frappante ! Ma fille avait hâte de voir son petit frère, et la rencontre entre mes deux anges fût formidable.
Ma princesse me rappelait moi, prenant ma petite sœur dans mes bras à l’hôpital avec la fierté d’être grand frère.
Quoi de plus beau que d’avoir deux enfants en bonne santé ? (Dieu merci).
Alors les années passaient à une vitesse folle, grande sœur était pressée de pouvoir jouer avec petit frère, et cela arriva très vite… Les changements de bébé nous laissaient sans voix, les premiers jouets, les premiers mots, les premiers pas et bien-sûr les premières bêtises.
Avec deux enfants, mon empressement pour rentrer du travail était encore plus fort.
Les clefs dans la serrure, je les entendais débarquer derrière la porte avec des cris de joie :

– ​Papa !
– ​C’est papa !

Je pense qu’au niveau bonheur on ne peut pas faire beaucoup mieux.
Et les années passaient, quoi qu’il m’arrivait pour me réconforter, les câlins et les bisous de mes bouts de chou cicatrisaient mes plaies.
En 2020, petit prince rentrait à la maternelle, princesse en CP, et papa allait reprendre sa quête artistique.