En toute hypothèse (épisode 131)

en toute hypothÈSE (épisode 131)


Les mois passaient et je voyais ma princesse grandir à vue d’œil, un papa comblé, mais ma vie professionnelle ne démarrait toujours pas ! Etant donné que j’avais tout le temps mon cerveau qui fourmillait d’idées, je n’arrivais pas à savoir dans quelle direction aller.
Je voulais sortir un roman, devenir un peintre reconnu, faire des ateliers d’écriture à domicile et la dernière idée en date avec le bilan de compétences c’était de devenir formateur. Depuis pas mal d’années, je me rendais à Aéroform, ce qui deviendra par la suite Servair Formation, et c’était là que ma vocation était née, en rencontrant un formateur hors norme, Jérôme. Apprendre en rigolant et dans la bonne humeur, c’était son fonctionnement.
J’en parlais aux responsables de ma boîte et ils n’étaient pas contre me donner un petit coup de main. C’est ainsi que je partais pour une formation de formateur. Prendre la parole devant un groupe de gens ne m’impressionnait absolument pas, avec l’expérience des concerts et de la radio, ce n’était pas m’exprimer devant une dizaine de personnes qui allait me déstabiliser.
Après cette petite interlude, ils m’envoyaient faire une formation pour former le personnel sur les engins de logistique, (autrement dit : tire-palette électrique et gerbeur).
J’ai énormément apprécié cette expérience, je recevais des collègues, leurs faisais une heure et demi de théorie et une heure et demi de pratique. Les retours furent excellents à l’unanimité.
Ce qui était moins réjouissant c’est quand il a fallu que je retourne à mes cartons une fois la centaine de collègues formées.
J’entreprenais par la suite de foncer dans cette voie, mais résonnait toujours en moi une voix qui me disait que j’avais mieux à faire…

en toute hypothÈSE (épisode 131)


Les mois passaient et je voyais ma princesse grandir à vue d’œil, un papa comblé, mais ma vie professionnelle ne démarrait toujours pas ! Etant donné que j’avais tout le temps mon cerveau qui fourmillait d’idées, je n’arrivais pas à savoir dans quelle direction aller.
Je voulais sortir un roman, devenir un peintre reconnu, faire des ateliers d’écriture à domicile et la dernière idée en date avec le bilan de compétences c’était de devenir formateur. Depuis pas mal d’années, je me rendais à Aéroform, ce qui deviendra par la suite Servair Formation, et c’était là que ma vocation était née, en rencontrant un formateur hors norme, Jérôme. Apprendre en rigolant et dans la bonne humeur, c’était son fonctionnement.
J’en parlais aux responsables de ma boîte et ils n’étaient pas contre me donner un petit coup de main. C’est ainsi que je partais pour une formation de formateur. Prendre la parole devant un groupe de gens ne m’impressionnait absolument pas, avec l’expérience des concerts et de la radio, ce n’était pas m’exprimer devant une dizaine de personnes qui allait me déstabiliser.
Après cette petite interlude, ils m’envoyaient faire une formation pour former le personnel sur les engins de logistique, (autrement dit : tire-palette électrique et gerbeur).
J’ai énormément apprécié cette expérience, je recevais des collègues, leurs faisais une heure et demi de théorie et une heure et demi de pratique. Les retours furent excellents à l’unanimité.
Ce qui était moins réjouissant c’est quand il a fallu que je retourne à mes cartons une fois la centaine de collègues formées.
J’entreprenais par la suite de foncer dans cette voie, mais résonnait toujours en moi une voix qui me disait que j’avais mieux à faire…