En toute hypothèse (épisode 116)

en toute hypothÈSE (épisode 116)


Une fois installé confortablement dans mon nouvel appartement, j’allais commencer à écrire mon roman. Je cherchais le sujet, l’inspiration, j’étais tombé par hasard, sur un livre sur Amazon, « Glacé » de Bernard Minier et j’enchainais les lectures de romans policiers. C’était devenu le style qui me plaisait et que je souhaitais faire.
Et un jour, c’est à Servair que l’idée m’était venue et que toute l’intrigue de mon ouvrage allait se dérouler, c’est en communiquant avec un collègue que je trouvais la source d’inspiration.
Quand au rap, je me lançais sur le deuxième album, j’écrivais environ 8 chansons et j’avais déjà le titre de l’album « Le Mirage », après « La raversée du désert » ça se tenait, je me souviens encore des titres écrits tel que « La Roue de l’Infortune » qui racontait le périple des migrants traversant la Méditerranée sur des bateaux de fortunes.
Puis le titre « Quelques Mots à Eric Zemmour » était enregistré et posté sur youtube.
Mon pote David avait créé son studio d’enregistrement, chez lui à 4 kilomètres de mon domicile. Mais là, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Alors qu’auparavant je faisais des centaines de kilomètres par mois pour le 1er album, une flemme monumentale me captivait, plus aucune envie d’aller enregistrer ! Je me disais sur le moment que c’était peut-être passager…. alors je mettais le projet entre parenthèses et laissais cela pour plus tard. Mais le dernier morceau que j’allais enregistrer c’était en Bretagne à Morlaix avec mon petit cousin Malik allias Kilam, on écrivait un titre où j’étais le papa d’un fils qui avait souffert de l’abandon de son paternel ! Mais à ce moment précis, je ne savais pas encore que ça allait être le dernier, puisqu’au final ma passion dévorante, débordante m’avait quittée définitivement. C’était improbable, quelques années auparavant je me demandais comment j’allais pouvoir arrêter tellement j’aimais ça !
Et là, plus rien, c’était peut-être aussi le début de mon roman qui me faisait prendre conscience que ma vraie passion en fait était l’écriture.
C’est ainsi que j’ai mis un point final à la musique, une page se tournait quand deux autres étaient sur le point d’éclore.

en toute hypothÈSE (épisode 116)


Une fois installé confortablement dans mon nouvel appartement, j’allais commencer à écrire mon roman. Je cherchais le sujet, l’inspiration, j’étais tombé par hasard, sur un livre sur Amazon, « Glacé » de Bernard Minier et j’enchainais les lectures de romans policiers. C’était devenu le style qui me plaisait et que je souhaitais faire.
Et un jour, c’est à Servair que l’idée m’était venue et que toute l’intrigue de mon ouvrage allait se dérouler, c’est en communiquant avec un collègue que je trouvais la source d’inspiration.
Quand au rap, je me lançais sur le deuxième album, j’écrivais environ 8 chansons et j’avais déjà le titre de l’album « Le Mirage », après « La raversée du désert » ça se tenait, je me souviens encore des titres écrits tel que « La Roue de l’Infortune » qui racontait le périple des migrants traversant la Méditerranée sur des bateaux de fortunes.
Puis le titre « Quelques Mots à Eric Zemmour » était enregistré et posté sur youtube.
Mon pote David avait créé son studio d’enregistrement, chez lui à 4 kilomètres de mon domicile. Mais là, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Alors qu’auparavant je faisais des centaines de kilomètres par mois pour le 1er album, une flemme monumentale me captivait, plus aucune envie d’aller enregistrer ! Je me disais sur le moment que c’était peut-être passager…. alors je mettais le projet entre parenthèses et laissais cela pour plus tard. Mais le dernier morceau que j’allais enregistrer c’était en Bretagne à Morlaix avec mon petit cousin Malik allias Kilam, on écrivait un titre où j’étais le papa d’un fils qui avait souffert de l’abandon de son paternel ! Mais à ce moment précis, je ne savais pas encore que ça allait être le dernier, puisqu’au final ma passion dévorante, débordante m’avait quittée définitivement. C’était improbable, quelques années auparavant je me demandais comment j’allais pouvoir arrêter tellement j’aimais ça !
Et là, plus rien, c’était peut-être aussi le début de mon roman qui me faisait prendre conscience que ma vraie passion en fait était l’écriture.
C’est ainsi que j’ai mis un point final à la musique, une page se tournait quand deux autres étaient sur le point d’éclore.