En toute hypothèse (épisode 32)

en toute hypothÈSE (épisode 32)


Les années défilaient et mes grands-parents venaient passer des week-ends à la maison. Mon grand-père aimait se mettre dans le jardin et avec mon père nous passions de bons moments, simples mais si chers…
Il était bien, bien que toujours souffrant, mais comme à son habitude toujours en silence. Même quand ma grand-mère le taquinait, toujours une petite réponse gentille ! Me revient à l’esprit, cet été où étant petit, j’étais parti avec eux en Bretagne chez ma tante et où je passais le plus clair de mon temps en sa compagnie, longeant les plages et cette petite allée à St Paul de Léon qui était bordée par d’immenses peupliers et ce feu d’artifice le soir du 13 juillet au bord de la mer avec deux éléphants qui étaient là pour nous divertir.
Si j’avais su à cette époque qu’il allait bientôt nous quitter, je ne l’aurais jamais lâché.
Mais ça, nous ne pouvons jamais le deviner à l’avance et étant au début de l’adolescence, je ne me souciais pas vraiment de passer du temps en famille.
J’étais de plus en plus dans le basket, ma collection de casquette de la NBA ornait le tour de ma chambre et des posters taille réelle des stars de ce sport aussi. Mes cousins venaient passer des vacances chez moi assez souvent, que ce soit Djelali qui était dans ma classe en primaire ou ceux de Chelles, Samir et Jamel.
Et quand j’étais seul et que je voulais rejoindre mes copains à Claye-Souilly, alors je faisais du stop.
J’avais vu ça et ça m’avait fasciné, on met son pouce et des gens s’arrêtent ! Je n’avais pas le choix, il n’y avait aucun autre moyen de transport.

en toute hypothÈSE (épisode 32)


Les années défilaient et mes grands-parents venaient passer des week-ends à la maison. Mon grand-père aimait se mettre dans le jardin et avec mon père nous passions de bons moments, simples mais si chers…
Il était bien, bien que toujours souffrant, mais comme à son habitude toujours en silence. Même quand ma grand-mère le taquinait, toujours une petite réponse gentille ! Me revient à l’esprit, cet été où étant petit, j’étais parti avec eux en Bretagne chez ma tante et où je passais le plus clair de mon temps en sa compagnie, longeant les plages et cette petite allée à St Paul de Léon qui était bordée par d’immenses peupliers et ce feu d’artifice le soir du 13 juillet au bord de la mer avec deux éléphants qui étaient là pour nous divertir.
Si j’avais su à cette époque qu’il allait bientôt nous quitter, je ne l’aurais jamais lâché.
Mais ça, nous ne pouvons jamais le deviner à l’avance et étant au début de l’adolescence, je ne me souciais pas vraiment de passer du temps en famille.
J’étais de plus en plus dans le basket, ma collection de casquette de la NBA ornait le tour de ma chambre et des posters taille réelle des stars de ce sport aussi. Mes cousins venaient passer des vacances chez moi assez souvent, que ce soit Djelali qui était dans ma classe en primaire ou ceux de Chelles, Samir et Jamel.
Et quand j’étais seul et que je voulais rejoindre mes copains à Claye-Souilly, alors je faisais du stop.
J’avais vu ça et ça m’avait fasciné, on met son pouce et des gens s’arrêtent ! Je n’avais pas le choix, il n’y avait aucun autre moyen de transport.